Loly Dia is an 11-year-old girl in Senegal and the child of divorced parents. When Loly’s mother won custody of her, she fled with her to Dakar, the capital. However, without a job, her mother was unable to send Loly to school, and Loly was forced to abandon her education.
Loly, her mother and grandmother moved to the town of Kaolack, where she had to work to help the household and was sad and frustrated. From a distance, Loly used to watch other children enjoying their leisure activities while she was not able to participate because she was too busy with her work.
It was then that the ‘A l’école en toute sérénité’ programme team noticed Loly sitting apart from the other children. The team approached her and after listening to her and identifying the problem, went to see Loly’s parents to analyse the case in greater depth.
As a result, after several discussions between Loly, her parents and the ‘A l’école en toute sérénité’ team member in charge of Loly’s case, all agreed that she would return to school. The team member went to a local school and negotiated a place for Loly. ‘A l’école en toute sérénité’ paid Loly’s enrolment fees, and she received school equipment.
Since then, at school, Loly always has all her equipment prepared when classes start. And she has become a regular prize winner of awards for excellence organised by the government’s education and training inspectorate.
Loly has integrated into her school with great success. She has become a child leader. She has participated in the campaign to enrol children in school in Kaolack’s Fass Ridwane neighbourhood and is involved in her peers’ leisure activities. From now on, Loly says, she will take part in all awareness-raising activities that enable children to have their say regarding their future. Loly believes the programme has somehow saved her life.
Loly is today a girl who loves to play and often takes the initiative. Peer-to-peer and intergenerational dialogue has been important for the children at schools involved in the ‘A l’école en toute sérénité’ programme. A new dynamic has been created, with children becoming more supportive of each other and willing to help fellow pupils who experience difficulties.
The programme has also involved the opening of shops at some schools where low-income families can buy supplies. And it includes a ‘one pupil, one school item’ feature that puts solidarity into action. Because some children have all their school equipment, while others don’t, the idea is for children who have more school items than they need to give one item to a classmate who lacks something. This initiative has helped many children to obtain all the school supplies they need.
L’histoire de Loly
La nommée Loly Dia est une enfant de parents divorcés. Ayant gagné la garde de sa fille la mère de Loly s’est enfuie avec elle à Dakar. Sans empli elle ne parvient pas à inscire l’enfant à l’école. Alors, Loly est contrainte d’abandonner ses études et aider sa mère et sa grand mère qui se sont désormais installées à Kaolack.
Descolarisée et victime de travail d’enfant Loly est devenue une enfant repliée sur elle même et rebelle.
A travers les activités du programme “A l’école en toute sérénité” la petite Loly est repérée assise à l’écart des autres enfants. Alors, l’équipe du projet s’est rapprochée d’elle. Après, l’écoute et l’identification elle s’est rendue auprès des parents de l’enfant pour approfondir l’analyse du problème. Ainsi, après plusieurs séances de travail avec les deux parties les parents et l’enfant se sont accordés pour l’enfant retourne à l’école. Pour ce faire, l’animateur chargé du cas de Loly s’est rendu à l’école du quartier négocier une place avec succès. Loly a été ensuite dotée en matériel
scolaire et ses frais d’inscription ont été prix en charge par le projet. Par contre depuis sa réintégration à l’école Loly a toujpours rafflé les prix de l’excellence organisés par l’inspection de l’éducation et de la formation ce qui fait qu’à chaque ouverture des classes elle avait déjà son matériel scolaire au complet.
Aujourd’hui force est de reconnaitre la parfaite intégration de Loly dans son école où elle est devenue une enfant leader qui a participé à la campagne pour l’inscription des enfants au CI dans le quartier Fass Ridwane. Elle a réintégré le de ses pairs dans les loisirs et ne compte pas rester là . Elle désormais participer à toutes les activités de sensibilisattion pour permettre aux autres enfants de pouvoir s’exprimer quand il s’agit de leur avenir déclare-t-elle.
Au début Loly était triste et frustrée de sort. Elle observait de loin ses pairs qui s’adonnaient aux loisirs auquels elle n’avait pas accès car occupée dans ses tâches. Aujourd’hui elle participe à toutes les activités de loisirs et fait partie de ceux et celles qui prennent des initiatives. Il faut dire aussi les dialogues entre pairs ainsi que ceux intergénérationnels ont joué un rôle important chze lez enfants des écoles bénéficiaires du projet. Toute une dynamique est née
faisant d’eux des enfants solidaires et prets à aider leurs camarades en difficultés. L’opération un élève un article scolaire peut illustrer cette solidarité. En effet, certains élèves ont leurs fournitures scolaires au complet et plus par contre d’autres n’en ont pas alors, l’opération est que chaque élève ayant un article de plus puisse le céder à son camarade qui n’en a pas. Ceci a permis à beaucoup d’élèves de pouvoir commencer leurs à temps et avec
du matériel scolaire au complet.
Loly ne cesse d’exprimer sa sollicitude auprès de tous ses visiteurs. Elle déclare toujours que le projet a en quelque sorte sauvé sa vie.
Slogan des enfant pour 2024: L’école, mon avenir! Parole des enfants après la formation sur les droits : Tout ce qui se
fait sans moi est contre moi !
Commentaire d’un parent qui veut rester dans l’annonymat: ” La boutique scolaire sera le seul prétexte qui continuera à réunir les membres de la communauté après le projet car elle a soulagé tous les parents démunis qui n’avaient en aucun cas nul part pour se donner la tête à l’ouverture des classes. Donc sa préservation restera capitale pour plus d’un” Un autre qui disait “Et si on savait vraiement ce que c’est la santé mentale que seraient devenus non grands enfants aujourd’hui? Car un grand nombre d’eux sont disrents de leurs parents faute de connaissance.”